Comme son cousin montagnard (Chénopode bon Henri), ils nous offre à manger ses feuilles, en forme de patte d'oie et blanche sur leur face inférieure.
Celles-ci sont riches en vitamines (A B2 PP C) et en sels minéraux (Ca K Mg) mais contiennent (comme les épinards) de l'acide oxalique qui est déconseillé aux goutteux et aux arthritiques.
On peut les consommer crues (jeunes pousses avant floraison) ou cuites en beignet (avec du cumin) ou en soupe...
Bien entendu, gardez à l'esprit d'éviter les plantes proches des vignes qui auraient pu concentrer les produits phytosanitaires que le début d'été humide a rendu indispensables.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire