Outre son ombre fort appréciée au centre des villages, le Micoucoulier offrait plusieurs "trésors" :
- ses baies comestibles à maturité, dont on tirait une liqueur, l'airgadent.
- ses feuilles dont on faisait un fourrage de fortune.
- sa racine qui donnait une teinture jaune
- et surtout son bois, pour lequel il était cultivé à Sauve et transformé en fourches à trois dents (voir le Conservatoire de Sauve)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire