C'est en effet ce qu'évoque sont port très droit et ses polis piquants comme des épines.
C'est la Vipérine commune...
Cette cousine de la Bourrache, elle en partage le caractère "poilu" de la famille, doit son nom à la forme de fleur :
Avec ses deux étamines saillantes, on croirait une gueule de serpent prêt à mordre...
C'est cette analogie qui à fait dire à Paracelse, medecin suisse du 16ème siècle, dans la mouvance naturaliste, qu'elle servait à soigner les morsures de serpent....
On croyait en effet que Mère Nature, pleine de Bonté, signait les plantes pour qu'on en reconnaisse l'usage (Théorie de la Signature).
Autre application médicinale, guère plus relayée que la première dans la phytothérapie moderne, elle remplacerait la Bourrache en décoction contre la toux.
UN JOUR, UNE PLANTE
Conseils :
Cliquez sur les mots en couleur, un lien wikipedia vous donnera davantage d'informations sur la plante.
Cliquez sur les photos pour les agrandir.
Enfin, dans la rubrique "anciens messages", retrouvez les plantes apparues les semaines précédentes, dont certaines peuplent encore la commune
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jeudi 28 mai 2009
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