C'est la Vipérine commune...
Cette cousine de la Bourrache, elle en partage le caractère "poilu" de la famille, doit son nom à la forme de fleur :
Avec ses deux étamines saillantes, on croirait une gueule de serpent prêt à mordre...
C'est cette analogie qui à fait dire à Paracelse, medecin suisse du 16ème siècle, dans la mouvance naturaliste, qu'elle servait à soigner les morsures de serpent....
On croyait en effet que Mère Nature, pleine de Bonté, signait les plantes pour qu'on en reconnaisse l'usage (Théorie de la Signature).
Autre application médicinale, guère plus relayée que la première dans la phytothérapie moderne, elle remplacerait la Bourrache en décoction contre la toux.
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